Électrohypersensibilité : Et si c’était une stratégie adaptative du vivant ?
- christophe andre
- 10 oct.
- 3 min de lecture
Fatigue chronique, troubles du sommeil, irritabilité, sensations de surcharge sensorielle... Ces symptômes touchent un nombre croissant de personnes se déclarant électrohypersensibles (EHS) ou chimiohypersensibles (CHS). Bien que longtemps ignorés ou considérés comme psychosomatiques, ces états révèlent peut-être une autre vérité : celle d’un déséquilibre fonctionnel réversible, reflet d’une adaptation biologique en souffrance.
Dans cet article, je vous propose un éclairage inédit basé sur une étude menée avec le système BioWell®, une technologie de bioélectrographie mesurant la cohérence énergétique du corps à travers les émissions électrophotoniques des doigts. Croisée avec une lecture endobiogénique (étude des axes hormonaux et de la régulation adaptative), cette approche offre un nouveau regard sur l’EHS : non pas une pathologie, mais un mode d’adaptation à un stress environnemental excessif.
Ce que révèle le corps : un profil énergétique typique
L’analyse de plusieurs patients EHS/CHS a révélé un schéma énergétique récurrent :
Base (racine) stable mais sur-sollicitée (axe surrénalien)
Plexus solaire affaibli (digestion du stress)
3ᵉ œil (perception cognitive) hypoactif
Cœur et chakra coronal suractivés (émotion et sens)
👉 Ce profil montre un déséquilibre vertical : le haut fonctionne en sur-régime pour compenser un bas affaibli. Résultat : une hypervigilance chronique, une surcharge cognitive, un épuisement émotionnel.
Une lecture intégrative : biophysique, émotion et adaptation
La technologie BioWell ne remplace pas un diagnostic médical, mais permet de visualiser en temps réel la dynamique du champ énergétique : alignement, cohérence, asymétrie. Ces données, interprétées dans le cadre de l’endobiogénie, permettent de faire le lien entre physiologie, psychologie et environnement.
L’organisme ne « tombe pas malade » : il s’ajuste, se protège, parfois en inhibant temporairement certains axes pour survivre à la surcharge.
Cette inhibition protectrice, concept clé en endobiogénie, permet au corps de mettre en pause certaines fonctions pour éviter la rupture. Elle est visible dans le champ énergétique par l’affaiblissement de certains chakras sans perte globale de cohérence.
Une approche thérapeutique : restaurer la cohérence intérieure
Les résultats suggèrent que l’interruption du lien corps-émotion-esprit est au cœur du mal-être des personnes hypersensibles. Il ne s’agit pas d’une faiblesse, mais d’une réaction adaptative inversée, où l’énergie monte (émotion, mental) sans pouvoir redescendre (ancrage, digestion, repos).
💡 Objectif thérapeutique : restaurer le lien intéroceptif, c’est-à-dire la capacité à percevoir, intégrer et réguler les signaux internes du corps.
Cela passe par :
La cohérence cardiaque et la respiration lente
Le mouvement doux, l’ancrage corporel
La régulation du système végétatif par des plantes adaptogènes douces (rhodiola, figuier, aubépine)
Une hygiène sensorielle et émotionnelle protectrice
Une vision nouvelle de la santé
L’électrohypersensibilité, loin d’être une maladie figée, pourrait être comprise comme un langage du corps en désorganisation fonctionnelle temporaire. L’étude montre que ces états sont réversibles, à condition de soutenir le système dans sa plasticité.
La médecine du futur pourrait ainsi s’appuyer sur l’alliance entre :
Les mesures énergétiques (comme BioWell)
Les lectures fonctionnelles (endobiogénie)
Les pratiques corporelles conscientes
La santé ne serait plus l’absence de symptôme, mais la capacité du vivant à se percevoir, s’ajuster et se régénérer.
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