Signes naturels de perturbations géobiologiques : arbres, haies et animaux
- christophe andre
- 18 avr. 2024
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 11 oct. 2024

Résumé
La géobiologie étudie comment les perturbations naturelles, comme les veines d'eau souterraines et les réseaux énergétiques (Grand Réseau Diagonal, réseau solaire), affectent la nature et la santé humaine. Ces perturbations se manifestent par des arbres déformés, des haies affaiblies ou des formations de champignons (ronds de sorcières). Les animaux et plantes réagissent aussi à ces énergies, certains les évitant, d'autres étant attirés. L'observation de ces signes naturels permet de mieux comprendre les énergies invisibles de la Terre et d’harmoniser nos espaces de vie.
Identifier les perturbations géobiologiques dans la nature
La géobiologie explore comment les environnements terrestres influencent la santé et le bien-être des êtres vivants. En observant certains indices naturels, il est possible de repérer des perturbations géobiologiques, ces énergies invisibles qui affectent notre environnement. Voici quatre indicateurs clés : arbres déformés, haies affaiblies, arbres remarquables et ronds de sorcières.
Arbres déformés et veines d'eau souterraines
Les arbres, témoins silencieux des énergies souterraines, réagissent souvent à la présence de veines d’eau souterraines en montrant des signes visibles de déformation. En effet, les champs électromagnétiques émis par ces veines affectent leur croissance. Des troncs torsadés, des branches poussant de manière inhabituelle ou encore des troncs inclinés sont autant d’indices que l’eau se cache sous vos pieds. Ce phénomène souligne à quel point les énergies terrestres peuvent interagir avec le vivant.
Haies affaiblies sur le Grand Réseau Diagonal et les veines d'eau
Les haies plantées au-dessus des veines d’eau ou sur le Grand Réseau Diagonal montrent souvent une vitalité réduite. Ce réseau énergétique théorique, bien qu’invisible, affecte la croissance des plantes et se manifeste par des haies plus frêles, moins denses, voire affaiblies. Tout comme les arbres, ces plantes sont sensibles aux champs électromagnétiques qui traversent la Terre.
Arbres remarquables sur le réseau solaire
À l’inverse, certains arbres, souvent majestueux et anciens, semblent prospérer dans des zones d’énergie positive. Ces arbres remarquables se trouvent parfois à des points précis du réseau solaire, un réseau énergétique en géobiologie associé à des forces bénéfiques. Leur présence attire souvent la faune et indique des croisements d'énergies géobiologiques puissantes et positives. Observer ces arbres peut ainsi fournir des repères naturels pour localiser ces points de forte énergie.
Ronds de sorcières sur les cheminées cosmotelluriques
Les ronds de sorcières, ces formations circulaires de champignons, signalent des zones d’intense activité géobiologique. Ils apparaissent généralement au-dessus des cheminées cosmotelluriques, des colonnes d’énergie reliant le cosmos à la Terre. Ces flux énergétiques influencent la microflore du sol, créant ces cercles mystérieux de champignons que l'on peut observer dans les forêts ou les prairies.
Les arbres fruitiers et zones géopathogènes
Tous les arbres ne réagissent pas de la même manière aux zones géopathogènes. Kate Bachler a observé que certains arbres fruitiers, comme les cerisiers, pêchers et pruniers, prospèrent dans ces zones perturbées, tandis que d’autres, comme les pommiers et poiriers, préfèrent des zones plus neutres. Le noyer, le sureau et le gui semblent également attirer ces énergies spécifiques, indiquant des affinités particulières entre certaines espèces et ces zones énergétiques.
Autres arbres et végétaux sensibles aux zones géopathogènes
Certaines espèces, comme le hêtre et le tilleul, évitent les zones géopathogènes, car elles sont réputées pour se protéger contre la foudre, qui frappe souvent à des croisements de veines d’eau. À l’inverse, le chêne et le sapin préfèrent ces zones à rayonnement terrestre négatif. Des plantes comme le lilas, le tournesol et le begonia sont aussi des indicateurs précieux pour identifier ces perturbations.
Animaux et zones géopathogènes
Les animaux sont également des sentinelles des énergies terrestres. Des espèces comme les chiens, vaches, poules et chevaux tendent à fuir les zones géopathogènes, préférant des espaces énergétiquement plus stables. À l’inverse, des animaux comme les chats, les fourmis et les abeilles semblent attirés par ces zones, de même que certains micro-organismes, bactéries et virus.
Conclusion : Une lecture attentive de la nature
Observer la nature avec attention permet de mieux comprendre les énergies invisibles qui nous entourent. Les arbres déformés, les haies affaiblies, les ronds de sorcières ou encore les comportements animaux sont autant d’indices naturels qui révèlent l’existence de perturbations géobiologiques. En identifiant ces signes, nous pouvons ajuster notre aménagement des espaces de vie pour mieux harmoniser notre environnement avec les forces naturelles, et ainsi vivre en meilleure santé et en paix avec la Terre.
Bibliographie
De Luzan, A. (2022). Votre santé en lieu sûr grâce à la géobiologie. Paris: Le Courrier du Livre.
Endröss, R. (1990). Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie. Nice: Éditions Ambre.
La Maya, J. (2005). La médecine de l'habitat. Paris: Editions Danglès.
De Lafforest, R. (1972). Ces maisons qui tuent. Paris: Editions Robert Laffont.
Bachler, K. (1989), Earth Radiations. Manchester : Wordmaster Ltd.
Comments